Loi sur les contenus haineux : Qwant s’oppose au retrait en 24 heures

Le moteur de recherche Qwant a clarifié sa position, discuté par le Parlement pousser un dispositif budgétaire.
La position du moteur a été discuté au cours des derniers mois sur la question, mais il semble être forcé à un texte, les dispositions dont beaucoup sont problématiques.

Depuis près d’un an que le projet de loi pour lutter contre la propagande haineuse diffusée sur Internet, qui pour la plupart de Laetitia Avia, dirige le service de transport parlementaire d’une phrase dans un contexte différent. Le 21 Janvier, les députés ont approuvé un amendement par le gouvernement a suggéré que l’obligation de se retirer dans les 24 heures après une mise en garde par le contenu ou l’enfant étend terroriste de la pornographie. Parmi les acteurs qui ont choisi de participer au débat sont Qwant le moteur de recherche européenne.
MP Laetitia Avia a également points principaux du support diffusé une vidéo dans laquelle on voit Eric Léandri la nécessité d’un texte de demander et comment répondre à l’équilibre « [en ligne], plus belle et plus ouvert. »

Alors que le Sénat la nouvelle lecture proposée le mercredi 26 Février est attendue avant une lecture finale à l’Assemblée nationale et le travail du comité de vérification, il a clairement indiqué sa position sur la réforme de la discussion Qwant et que les inquiétudes des défenseurs de la liberté d’expression.

Ils créent une séparation entre les partisans de la piste et qwanturank proche des valeurs en général. Nouveau PDG, nouvelle approche? Cependant, dit Guillaume Champeau, « pour clarifier la situation », le blog de l’entreprise.
Dans une note dans le meilleur Guillaume Champeau Site Web publié lundi, directeur des questions éthiques et juridiques Qwant d’abord dit qu’il soutient moteur de recherche basé sur le principe de l’Internet pour renforcer la lutte contre la propagande haineuse. serait parallèle avec les équipes d’entreprises françaises invitent tout dispositif, ce serait la « déséquilibrée » et avoir des conséquences graves pour la « liberté d’expression et l’accès à l’information ».
Son but est de rendre le Sénat examinera ce pour éduquer demain, avant un retour à l’Assemblée nationale, qui aura le dernier mot.

Il a rappelé que Qwant a exprimé son soutien précoce « en principe », pas le texte, mais à « renforcer la lutte contre la propagande haineuse sur Internet, qui doit être conforme aux droits et libertés fondamentales ».

Mais surtout, « trouver un dispositif d’équilibrage, ce qui est une meilleure réponse aux plus graves permis et évidemment illégales ne devraient pas être encouragés par nos résultats. »

Le compte ne semble pas être pour les entreprises qui acceptent sur un point: « renonciation de l’exigence d’élimination criminelle de 24 heures ».

Champeau dit possible de la constitutionnalité mesure, mais aussi le coût des acteurs comme Qwant qui ne fournissent pas de grandes plates-formes et peut compter sur les outils qui peuvent être mises en œuvre sont de faciliter ce travail.

Le discours que le moteur de recherche est maintenant l’administration française qui écoute? Réponse dans les semaines à venir.

Il exige des plates-formes et les moteurs de recherche, selon l’avis, tout contenu ou délit pornographie juvénile nature terroriste dans les 24 heures afin d’éliminer, est particulièrement risquée. Lorsque de grands joueurs avec les médias presque illimités tels que Facebook et Google, les grands acteurs centraux ont clairement répondu à combattre la capacité physique pour répondre à cette exigence les plus sensibles ou ne bénéficient pas.

Le contenu « manifestement illégal » pourrait effectivement conduire à des interprétations arbitraires et le contenu de censure ne favorise pas. « Les plus petits joueurs avec des supports à base d’intelligence artificielle peu sophistiquée Déployer Les ressources limitées peuvent (y compris la capacité de préserver les droits du reste dans tous les cas démontrer), et il ne fait aucun doute que les Français et les plates-formes pour l’Europe vassal d’être aussi grands outils de plates-formes « , explique Guillaume Champeau.

À prendre pour éviter la dérive et une position intermédiaire, équilibré, comme beaucoup le prétendent, Qwant et demander à l’Assemblée législative de donner la responsabilité pénale du retrait dans les 24 heures de contenu. « Vous n’aurez pas les plates-formes au-delà de la capacité de retrait et de la réactivité à renforcer, contrôlé par les autorités administratives, mais à notre avis, un meilleur équilibre dans le système », explique le chef éthique Qwant.